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Le Biz nouveau est arrivé !

28 Mar

Chaque année, en période de vendanges, il me revient en tête. Comme la Chansonnette de Montand ou comme un boomerang que l’on aurait lancé avec précision au cours de l’endormissement hivernal de la vigne pour le recevoir entre les mains (ou entre les dents) au moment crucial des vendanges. Pas de doute, il énerve, il agace, il jalouse, il irrite les pores de la peau, et pourtant, l’homme du vin, c’est bien lui, le dénommé Hervé Bizeul. Oh, il ne se revendique pas comme tel, il ne proclame pas non plus qu’il l’est, mais il insiste surtout avec justesse, me semble-t-il, sur la nécessaire vision que l’on se doit d’avoir lorsque l’on parle du vin : celle d’un rapport intime entre l’homme, la plante et la nature. 

Le travail de la vigne est saisonnier et il serait stupide de croire – à l’instar de bien des protagonistes vineux – qu’il suffit de planter la vigne dans un trou pour en récolter ensuite tous les bienfaits et les bénéfices sonnants et trébuchants. Alors, j’en reviens à Hervé Bizeul, le type même de celui qui apprend en cinq minutes, l’encyclopédiste, le curieux de tout, le frangin qui cuisine comme un chef et qui séduit les nanas à coups de fourchette et de cuisson longue, le gars qui énerve quoi, au point d’en rajouter des lignes et des lignes sur un blog à nul autre pareil où il apparait en ouverture avec une fleur des champs entre les dents.

Tout ce qu’il raconte dans ce blog indiscipliné est intéressant, tout ce qu’il décrit force l’intelligence, il fascine autant les vignerons culs terreux qu’il interpelle aussi ceux de la finance qui mettent leurs billes dans une terre starisée. On y suit les vicissitudes d’un homme des villes devenu rat des champs, explorateur infatigable de cailloux, de bosses rocheuses, de plans inclinés, chercheur sans diplômes en sciences viticoles, astrales, florales et tutti quanti, animateur-formateur d’équipes de femmes et hommes dont le principal est d’aimer le travail et de faire naître le plaisir qui en découle, même en rechignant les jours de pluie ou en grelottant face à la tramontane. Tout ce qu’il écrit, souvent avec beauté et drôlerie, tout ce dont il rêve et dont il reçoit l’émotion, un livre, une chanson, un poème, tout ce qu’il apporte, même lorsque le ton devient franchement technique, tout cela me touche, m’interpelle comme on disait il y a 50 ans, me frappe le cerveau et me laisse songeur quant au dur labeur de la vigne et du fruit béni que l’on attend d’elle.

Comme l’an dernier, ses billets au jour le jour de la vendange me sont devenus lectures indispensables. Alors faîtes comme moi, abonnez-vous au Biz Nouveau et suivez le temps des vendanges pas à pas, filez droit sur le site d’Hervé Bizeul et de son Clos des Fées !

Michel Smith

Suivez le Biz !

29 Août
Hervé Bizeul

Chaque année, il me revient en tête. Comme la Chansonnette de Montand ou comme un boomerang que l’on aurait lancé avec précision au cours de l’endormissement hivernal de la vigne pour le recevoir entre les mains (ou entre les dents) au moment crucial des vendanges. Pas de doute, il énerve, il agace, il jalouse, il irrite les pores de la peau, et pourtant, l’homme du vin, c’est bien lui, le dénommé Hervé Bizeul. Oh, il ne se revendique pas comme tel, il ne proclame pas non plus qu’il l’est, mais il insiste surtout avec justesse, me semble-t-il, sur la nécessaire vision que l’on se doit d’avoir lorsque l’on parle du vin : celle d’un rapport intime entre l’homme, la plante et la nature. 

Le travail de la vigne est saisonnier et il serait stupide de croire – à l’instar de bien des protagonistes vineux – qu’il suffit de planter la vigne dans un trou pour en récolter ensuite tous les bienfaits et les bénéfices sonnants et trébuchants. Alors, j’en reviens à Hervé Bizeul, le type même de celui qui apprend en cinq minutes, l’encyclopédiste, le curieux de tout, le frangin qui cuisine comme un chef et qui séduit les nanas à coups de fourchette et de cuisson longue, le gars qui énerve quoi, au point d’en rajouter des lignes et des lignes sur un blog à nul autre pareil où il apparait en ouverture avec une fleur des champs entre les dents.

Le Roussillon, terre de Bizeul

Tout ce qu’il raconte dans ce blog indiscipliné est intéressant, tout ce qu’il décrit force l’intelligence, il fascine autant les vignerons culs terreux qu’il interpelle aussi ceux de la finance qui mettent leurs billes dans une terre starisée. On y suit les vicissitudes d’un homme des villes devenu rat des champs, explorateur infatigable de cailloux, de bosses rocheuses, de plans inclinés, chercheur sans diplômes en sciences viticoles, astrales, florales et tutti quanti, animateur-formateur d’équipes de femmes et hommes dont le principal est d’aimer le travail et de faire naître le plaisir qui en découle, même en rechignant les jours de pluie ou en grelottant face à la tramontane. Tout ce qu’il écrit, souvent avec beauté et drôlerie, tout ce dont il rêve et dont il reçoit l’émotion, un livre, une chanson, un poème, tout ce qu’il apporte, même lorsque le ton devient franchement technique, tout cela me touche, m’interpelle comme on disait il y a 50 ans, me frappe le cerveau et me laisse songeur quant au dur labeur de la vigne et du fruit béni que l’on attend d’ell

Quelques-unes de la bande à Bizeul

Comme l’an dernier, ses billets au jour le jour de la vendange me sont devenus lectures indispensables. Alors faîtes comme moi, abonnez-vous au Biz Nouveau et suivez le temps des vendanges pas à pas, filez droit sur le site d’Hervé Bizeul et de son Clos des Fées !

Michel Smith

Salon Millésime Bio 2015 : mes trophées de l’année.

3 Avr

Les organisateurs du petit salon sympa de jadis, devenu en quelques années la vitrine géante de la bio mondiale ont eu l’idée – à moitié heureuse à mes yeux – d’organiser une sorte de « prix spécial de la presse »; une super récompense des médias, à partir des médaillés vins bio de l’année, ceux du Challenge Millésime Bio. J’ai bien essayé de participer en commençant par les rouges, le premier jour, mais j’ai vite déchanté, car les vins n’étant pas cachés d’une robe, ce qui me paraît essentiel dans le cadre de l’attribution d’un prix, j’étais bien entendu tenté, tordu comme je suis, d’attribuer mes coups de cœur aux flacons de mes potes vignerons en priorité, si possible ceux amoureux des cépages autochtones, CinsaultCarignanTerretGrenache et consorts. J’aurais pu m’en tenir au Sud-Ouest ou au Bordelais, à la Savoie, l’Autriche ou l’Afrique du Sud, mais là aussi, je me sentais piégé car, depuis le temps que je viens au salon, je commence à en connaître un rayon et à avoir une flopée de favoris.

Alors, pour me venger en souriant de ces déconvenues, n’ayant pas encore reçu les résultats de ce super concours à l’heure où je rends ma copie, c’est à dire cette nuit, j’ai décidé d’attribuer mes propres trophées, en fonction de plusieurs catégories un peu loufoques afin de faire un maximum de buzz et un maximum d’heureux. Si vous souhaitez en ajouter d’autres, libre à vous! Par honnêteté, je précise que, sur un plan purement déontologique, à mon avis, un vrai journaliste ne devrait jamais avoir à attribuer de prix. Mais voilà, vous me connaissez et je n’en suis pas à une contradiction près.

Photos©MichelSmith
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1 – Le prix du plus beau Crachoir du salon est remis à l’Alsacien Mathieu Boesch (Domaine Léon Boesch) pour son magnifique crachoir en grès de sel typique de Betschdorf !

Photo©MichelSmith
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2 – Le prix du Fino le plus Fou va à la Gélatine de Fino des Bodegas Robles à Montilla, spécialité que les cuisiniers du royaume s’arrachent déjà !

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3 – Le prix du Couple Vigneron qui a résisté plus de 40 ans à toutes les tempêtes va à Monique et Michel Louison qui, après s’être battus à Faugères font revivre un magnifique terroir à leur dimension, le Domaine de La Martine, dans le Haute Vallée de l’Aude, près de Limoux, où le Cabernet franc donne un incomparable rosé encore plus dense que celui déjà repéré l’an dernier.

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4 – Le prix du plus Beau Design pour un « bag in box » est attribué à ce dessin de Mika et ce joli slogan aperçu au stand de Biotiful Wines. J’en profite pour ajouter que Nadine Franjus-Adenis qui commente souvent sur ce blog est à l’origine d’un nouveau concours vineux dédié à ce genre de contenants.

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5 – Le prix des plus Jolies Bulles revient tout naturellement à l’équipe du Château de La Liquière qui, non contente de vinifier des Carignans hors pairs concocte depuis 3 ans un délicieux breuvage moitié Grenache, moitié Mourvèdre, élaboré dans une cave de Gaillac pour une sacrée méthode ancestrale baptisée « L’unique Gaz de Schiste » qui vaut son pesant de douceur et de vivacité !

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Jim, trying to eat ! Photo©MichelSmith

6 – Le prix de la plus Belle Moustache 2015 était pour moi le plus facile à attribuer, le plus évident : il va à notre Jim Budd qui n’a pas cessé durant trois jours de gambader dans les rues de Montpellier et les travées de Millésime Bio.

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7 – Le prix de la Déclaration d’Amour va tout droit à John Bojanowski du Clos du Gravillas qui a choisi de composer un tendre message à l’attention de son épouse Nicole, en guise de numéro de lot tatoué sur le col de ses bouteilles.

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Place de la Comédie, Montpellier by night. Photo©MichelSmith

8 – Le prix de la plus Belle des Soirées va, comme d’habitude, aux jeunes vignerons du Beaujolais venus dans une belle brasserie proche de la Place de la Comédie avec force magnum et vieilles bouteilles afin de prouver que le Beaujolais a du cœur !

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9 – Le prix des « Estrangers » les plus Accueillants est attribué aux quatre vignerons de Vinibio menés par le conquérant et francophile Jao Roseira, de la Quinta do Infantado, monté de son Douro natal pour tenter de faire connaître les Vinho VerdeLisboa et autres appellations du Portugal.

Photo©MichelSmith
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10 – Le prix de l’Optimisme Catalan a été décerné à Bruno Ribière et à Frédérique Barriol-Montès qui ont su résister face au « Roussillon bashing » infligé par notre consoeur Rosemary George dans le dernier numéro de Decanter.

 Michel Smith

(Article initialement publié le 29 Janvier 2015 sur le site Les5duVin)

Oh, les Bourges, on se bouge !

9 Fév

Vrai ça ! Du Médoc capitale Pauillac au Libournais capitale Saint-et-Millions, le Mondovino, le monde du vin n’a de mots que pour les Crus Classés au point de nous casser les oreilles et les… Or, ce n’est pas logique. En effet, il m’apparaît par je ne sais quel éclair tombé du ciel que, depuis quelques années, lorsqu’ils ont cherché face à la presse agenouillée à s’acheter une conduite syndicale affichant force bonnes manières et intégrité en même temps qu’un jeu limite grand show, notre chère, noble et illustre confrérie des Crus Bourgeois s’est comme volatilisée de la scène médiatique. Côté communication, les « bourges » du Bordelais, du moins ceux du Médoc, me semblent dangereusement en sommeil. Seraient-ils en manque d’inspiration ? En recherche désespérée d’une bonne attachée de presse ? Ou bien se mettraient-ils volontairement en mode discrétion absolue pour éviter les questions qui fâchent ? Éviter de reparler de procédures judiciaires par exemple lancées au lendemain de leur magistrale réforme de 2010. Dommage, car on aimerait bien – moi en tout cas, puisqu’ils ont fait partie de mon apprentissage  – en savoir plus sur leur devenir. Où en sont -ils ? Que font ils ?

Bon d’accord, il est vrai que, coutumier du fait, j’affirme des choses en vrac, sans savoir. Vrai aussi que cela doit faire une éternité que je n’ai franchi la porte d’un chai médocain fut-il Bourgeois. C’est un fait : je n’ai pas lu toute la presse du vin ces temps-ci et on va dire que je suis en retard d’une guerre chose que je comprends vu que je ne peux plus me payer d’abonnements à la RVF, Vignerons, Terre de Vins ou au Wine Spec et que même, ô sacrilège !, dans un souci bien légitime de vouloir protéger mon pauvre portefeuille, j’ai omis de renouveler ma cotisation au plus vaillant des magazines du vin, j’ai nommé le très respectable Rouge et le Blanc, lequel ne dit que ce qu’il pense sans se laisser influencer par l’ogre publicitaire qui fait marcher au pas la langue de bois à défaut de celle de Molière ou du journalisme.

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Non mais, enfin quoi, qu’est-ce que ça peut bien signifier ce silence radio ? Communiquez les bourges ! C’est le peuple du vin qui le réclame quand bien même je sais pertinemment qu’il n’en a rien à foutre. Vite, ou sinon vous allez sombrer dans l’oubli ! N’y a-t-il plus d’émetteurs côté Médoc ? Serait-ce le calme plat vers l’estuaire ? Nos vignes-trotteurs Bettane & Desseauve ne courent-ils plus le célèbre marathon ? Ça leur ferait pourtant grand bien … (mes excuses les gars, mais faut penser à l’âge et la retraite qui vous guette !). Quant à Bob, soit, je veux bien admettre qu’il ait pu changer son fusil d’épaule en se concentrant sur la revalorisation des « petits » vins à moins de 10 $ tout en se gargarisant avec des grands crus à 200 $ minimum, mais enfin, que fait-il ? Ou alors, que font ses adjoints ? Pourquoi ne vont-ils pas enquêter sur cette extraordinaire source vineuse que le monde entier nous envie, les Crus Bourgeois ?

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Comment faire pour ne plus cautionner notre Brel national (bien que Belge) qui chantait haut et fort : « Les Bourgeois (remarquez mon « B » majuscule…), c’est comme les cochons plus ça devient vieux plus ça devient… » ? Je vous fais grâce du dernier mot qui pourrait être mal interprété par les temps qui courent et du non-dit qui suit encore plus impubliable. J’ai cherché sur Google avec ces mots : « Crus Bourgeois du nouveau ? » et les premiers articles arrivant en tête datent de 2010. Bon c’est vrai qu’en septembre et octobre 2012, la RVF et Le Point ont évoqué le classement annuel. Dans ce cas, serais-je un petit peu trop impatient ? Qui sait, après tout il se pourrait bien qu’on en reparle dans un petit mois ? Il est vrai que, pour la RVF en tout cas, il ne s’agissait pas d’un véritable article de fond. Plus un truc que l’on met sur un site en mal d’action au cas ou quelqu’un oserait aborder le sujet. Comme une nécro prête à l’emploi au Monde en quelque sorte. C’est pourquoi je vous recommande plutôt la lecture de l’article de Jacques Dupont qui évoque le classement pour le millésime 2010 et qui raconte fort bien la manière dont les choses fonctionnent. Mais depuis, plus rien. Silence radio, ou pas grand chose, sur cette « alliance » composée de 260 châteaux intègres… Allez, on va faire un petit test : lequel parmi vous serait capable de me citer de tête au moins trois noms de châteaux apparaissant pour la première fois en 2010 dans le « classement » (devrais-je dire « dans la liste » puisqu’ils ne sont classés qu’alphabétiquement ?) des Crus Bourgeois ? Et qui serait en mesure sans tricher de me citer le nom du grand vainqueur de la Coupe des Crus Bourgeois2013 toujours vaillamment organisée par Le Point ? Allez, pour ce dernier je vous aide, c’est ici.

Mis à part cet « événement » qui doit faire à chaque fois la « une » de la presse locale, on a vraiment une impression d’immobilisme chez les Bourgeois. Par curiosité (malsaine, cela va de soi), j’ai consulté au passage la liste des membres du Jury de la Coupe. Il y a des gens bien de tous les horizons, y compris un Master of Wine, un vrai, et la charmante Suzanne Methé de L’Amateur, magazine qui semble pourtant avoir fermé ses portes depuis plusieurs mois. On va dire qu’avec l’âge je deviens aigri ou jaloux, mais dans cette honorable liste, je ne vois pas un seul membre de l’équipe des 5 du Vin ! Pourtant, je jurerais volontiers que Hervé et (ou) David y auraient leur place vu qu’ils participent à de nombreux concours. Pour ce qui est de mon auguste personne, je ne recule pas devant l’obstacle qui consisterait à me frotter au monde bourgeois du Médoc. Tiens, au passage, il y a plus de 20 ans, certains châteaux dans les Côtes de Bourg, le Sauternais et les Graves entendaient revendiquer le terme de « Cru Bourgeois ». Qu’en est-il aujourd’hui ?

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Pas grave tout ça, me direz-vous. On se consolera peut-être avec les Crus Artisans. Ça te dirait bien ça Hervé, non ? Quoi ? Qu’est-ce encore ? Un hochet de plus pour médocains oubliés, pour vignerons du bas de l’échelle ? Un classement pour les exclus et les pauvres de la presqu’île ? Allons, allons, trêve de persiflage master Smith. Les Crus Artisans existent bel et bien. Ce n’est ni plus ni moins qu’une association qui rassemble une quarantaine de domaines obéissant à certaines règles en partie détaillées ici même encore et toujours sous la plume experte de Jacques Dupont. Leurs vins sont bien plus abordables que ceux de la bande des Bourgeois ou ceux de l’aristocratie locale dite des « classés », même si certains de ces Crus Artisans commercialisent autour de 40 € le flacon, notoriété oblige. À l’instar de Château Béhèré, sur Pauillac , lequel a d’ailleurs été repris il y a peu, faute de successeur par, je vous le donne en mile, non pas par un russe ou un chinois, mais par un cinquième Cru Classé, le Château Pédesclaux. D’ailleurs, cela ne me surprendrait pas qu’un jour Béhèré fasse son entrée dans le monde des Bourgeois tant il est vrai que, dans le Médoc, on échappe rarement à son destin.

Michel Smith

PS- À titre personnel, et pour ceux que cela intéresserait, je vous donne la liste dans le désordre de quelques uns de mes Bourgeois préférés :

Bel Air, Belle Vue, Charmail, Lousteauneuf, Les Ormes Sorbet, Paloumey, Meyre, Peyrabon, La Tour Haut Caussan, La Tour de Mons, La Tour de By, Villegeorge, etc. Mais il est vrai que  j’aime aussi Sociando-Mallet, Gloria, Poujeaux et Chasse Spleen qui ne sont ni classés « grand cru », ni « bourgeois », enfin si j ne me trompe pas dans mes gammes…

Précision de l’auteur de ces lignes : ARTICLE PUBLIÉ EN 2013 SUR  les5duVin